J55 : Où le dur reprend ses droits !

Après l'habitat typique, voilà le petit pavillon suédois !

Enfin... Petit, c'est un bien grand mot : si généralement il ne compte qu'un seul étage, il est souvent très étiré en longueur.

La version la plus ancienne semblerait-être celle-ci, que l'on croise le plus souvent aux proches abords du centre-ville. Des murs de brique, rarement de ciment, un haut toit de tuiles, pas d'étage, mais sans doute des pièces habitables en dessous du niveau du sol. Ce type de maison se dresse assez souvent au milieu d'un grand jardin, fermé par une clôture en bois ou une haie de thuyas.

La version plus récente ressemble à cette maison. Elle est encore plus étirée en longueur, et est flanquée d'un garage là où la version précédente avait une petite cour intérieure pour garer ses voitures. Un des points communs à toutes les habitations de ce type est que leur terrain n'est que rarement délimité ou clôturé, mais quand il l'est, c'est par un muret de pierre à peine assez haut pour empêcher un enfant de 10 ans de l'enjamber.

Pas de grandes baies vitrées dans les deux cas, des fenêtres oscillo-battantes pour les plus vieilles, quelques portes-fenêtres pour les derniers modèles en construction à quelques centaines de mètres de chez moi, et d'après ce que j'ai vu, une isolation renforcée à grands coups de matériaux spéciaux étiquetés 100% bio qui me font regretter la laine de verre posée en Bretagne qui me gratte encore par moments !